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GRAPHITES est un collectif créé en 2015 par Karen Darand (architecte), Camille Hamard (architecte) et Chloé Wizla (plasticienne).

 

Notre pratique pluridisciplinaire cherche à imaginer de nouvelles formes d’expression et de rencontres qui interrogent l’espace, les mouvements, les matériaux, le participatif et le ludique. 

Ensemble, trois graines et plus !

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Le collectif GRAPHITES est né d’une rencontre autour d’une sensibilité commune de l’espace et des questions qui s’y rapportent.

Nos interrogations portent autant sur la ville, le paysage et les jardins, que sur l’habitat, pour lesquelles la notion d’espace est pensée comme un temps de poésie.

Grâce à nos sensibilités et nos formations respectives, nous posons chacune un regard particulier et complémentaire sur ces interrogations.

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GRAPHITES aime jouer, inventer et fabriquer

 

Convaincues que l’appropriation d’un lieu passe par l’expérience, le processus de création que nous développons se traduit par l’engagement du corps et des sens dans l’espace. L’expérience de la lumière, des volumes, du pli d’un tissu, de la texture d’un béton deviennent ainsi objets de création. La cohésion entre les membres du collectif permet de croiser, dialoguer, partager les différents questionnements et réflexions pour ainsi ouvrir le champ des possibilités de création. Les personnes et leurs pratiques sont au cœur de nos préoccupations et de nos réflexions. Les futurs usagers sont le plus souvent acteurs de la conception, voire de la fabrication. 

C’est  l’échange avec les fabricants mais surtout avec le public qui construit le projet et l’enrichit. Le «faire ensemble» est pour nous symbole d’une contemporanéité qui vise à créer le lien entre les personnes, et entre les personnes et les espaces qu’ils occupent. 

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GRAPHITES s’aventure

 

Le collectif ne cesse d’explorer et de cultiver son regard curieux et éveillé. GRAPHITES mêle ses intuitions, ses expérimentations, son quotidien à des inspirations glanées dans la sociologie, la philosophie, la danse, la photographie, le dessin, le design, etc... Chaque projet abordé est l’occasion de faire naître de nouveaux questionnements et problématiques, c’est-à-dire d’ouvrir le jeu...

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Camille Hamard, architecte HMONP, pratique la photographie, le yoga et la poterie. Son travail revendique une conception sans détachement. Tout d'abord par l'importance d'une corrélation entre imaginer et faire, puis parce que concevoir passe avant tout par l'engagement des sens, et d'une interaction entre corps et espace. Toutes constructions, quelles soient à l'échelle d'un mobilier ou d'un bâtiment, sont avant tout susceptibles de provoquer chez l'homme qui les pratique une expérience sensitive. Elle retrouve ces préoccupations à travers l’exercice de la photographie : photographier c'est avant tout se questionner, affirmer son point de vue, une attitude, en réaction à ce qui l’entoure.

Karen Darand, architecte de formation, elle développe une approche pluridisciplinaire nourrie par son interêt pour la danse et des interrogations qui en sont issues sur la gestuelle et le mouvement. Elle pense l'espace à travers les corps qui l’habitent, le traversent, le ressentent. Son travail envisage l'espace comme un intervalle entre les choses, qui peut être révélé par le corps en mouvement. Attachée à comprendre ce langage du corps et sa relation avec la perception de l'espace, elle tente de documenter le geste à travers une collection qu’elle annote et répertorie.

Chloé Wizla, artiste plasticienne et commissaire d’exposition. Son travail se situe entre le dessin, le collage et l’installation. Elle appréhende la création comme une promenade, puis comme une construction. Le collage a cette propriété de pouvoir ré-inventer un paysage, un voyage, fabriquer des lieux, des espaces uniques. Souvent associé dans ses recherches avec des matériaux, des formes ou des objets, le collage peut être vu comme un élément, un segment, qui s’invite dans des installations, des assemblages afin d’interroger les espaces que nous habitons. La création serait ainsi ce qui est interposé, par des gestes simples s’inscrivant dans des installations et des déplacements discrets pour nous permettre de voir autrement les objets, les réalités, les espaces.

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Le collectif GRAPHITES est soutenu par la Malterie (Lille)

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